Contre la toux, les rhumes, les infections et pour renforcer le système immunitaire.
Aux vertus fortifiantes, le moins riche en glucose et saccharose, bien pour le confort digestif d'après-repas.
Pour lutter contre les états grippaux, contient également de la gelée royale et du zinc, efficaces contre les rhumes.
Reconnu pour apaiser et relaxer le corps et l'esprit, de faciliter l'endormissement
Miel, plantes et vitamines pour enfants, pour soulager les symptômes du rhume et de la toux.
Le Miel est une substance sucrée élaborée par les abeilles à miel à partir de nectar ou de miellat. Elles l’entreposent dans la ruche et s’en nourrissent tout au long de l’année, en particulier lors de périodes climatiques défavorables. Il est aussi consommé par d’autres espèces animales dont l’espèce humaine qui organise sa production par l’élevage des abeilles à miel.
Super aliment depuis des siècles, ses vertus ne sont plus à démontrer, depuis bien longtemps, la nature humaine a compris que les produits de la ruche grâce aux abeilles pouvaient être un allié de choix.
Utilisé à des fins thérapeutiques dès l’antiquité, il connaît aujourd’hui une validation scientifique de ses propriétés antibactériennes et un usage comme cicatrisant. Il est ainsi cité dans 500 remèdes de la pharmacopée de l’Égypte antique, principalement pour sucrer les préparations médicales.
Idéal pour lutter contre les maladies ou en utilisation préventive, le miel est pourtant moins connu pour ses vertus antibactériennes, anti-inflammatoires et antioxydantes, la liste des bienfaits du miel est plutôt fournie.
Utilisé depuis toujours comme remède, soit à l’état pur, soit mélangé à des plantes, nous connaissons tous les bonbons au miel pour soulager les maux de gorge.
Comme il y a plusieurs variétés de miel, on en trouve avec des propriétés laxatives, d’autres pour guérir les brûlures, les inflammations… On utilise même les propriétés du miel pour guérir des morsures, notamment de serpents.
La pharmacopée commençant de plus en plus à prendre conscience des nombreux bienfaits que connaissaient nos ancêtres depuis longtemps, on peut également étendre la réflexion sur les autres produits de la ruche, comme la gelée royale, la cire ou la propolis.
source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Miel
Une étude suisse publiée en octobre 2017 par la Revue Science, basée sur l'analyse de miels provenant de 298 emplacements différents du monde montre que la quantité de certains insecticides trouvé dans le miel tend à augmenter dans le monde entier, confirmant une contamination générale des agroécosystème et une exposition environnementale croissante des abeilles (et peut-on supposer des abeilles sauvages et de tous les autres pollinisateurs). Certains produits diminuent ou disparaissent, mais les néonicotinoïdes (acétamipride, clothianidine, imidaclopride, thiaclopride et thiaméthoxame qui sont tous des insecticides systémiques retrouvés dans tous les tissus des plantes traitées, y compris dans le pollen et le nectar se généralisent).
La pollution des miels par les néonicotinoïdes est en moyenne de 1,8 ± 0,56 nanogramme par gramme , beaucoup plus élevée en Amérique du Nord avec 86 % des miels analysés contenant un ou plusieurs néonicotinoïdes en 2017) et la moins élevée en Amérique du Sud où néanmoins 57 % des échantillons en contenaien. Aucun des échantillons analysés lors de cette étude ne dépassait les normes sanitaires édictées pour l'Homme, mais les résultats sont néanmoins jugés très préoccupants puisque environ 1/3 des échantillons de miels présentaient des niveaux assez élevés pour affecter la santé des abeilles voire de la ruche entière. C'est donc la pollinisation en tant que service écosystémique et de nombreuses espèces de pollinisateurs (ainsi que leurs prédateurs et les espèces qui en dépendant indirectement peut-on supposer) qui sont menacés.
Les auteurs de l'étude demandent aux gouvernements plus de transparence et de publication de données sur les quantités de néonicotinoïdes vendus et utilisées en agriculture, afin de clarifier les éventuelles relation entre quantités utilisées par les agriculteurs et quantité retrouvées dans les miels.
L'avenir des producteurs de miel est aussi en jeu, car les néocotinoïdes sont suspectés de jouer un rôle clé dans l'effondrement mondial des populations de pollinisateurs domestiqués et sauvages.